Sur CNBC, l'Organisation Internationale du Travail (OIT) a appelé les dirigeants européens à investir dans leurs économies et de faire la création d'emplois leur priorité. Son rapport montre que 3,5 millions d'emplois ont été détruit depuis 2008 et que 4,5 millions sont menacés. En résumé, l'OIT presse les chefs d'Etat d'arrêter de chauffer leur chaise durant les sommets européens et de prendre des décisions courageuses.
Le rapport alerte du niveau élevé de chômage en zone euro (11%), soit 17,4 millions de personnes sans emploi.
D'autres part, l'OIT prévient que la politique actuelle doit changer rapidement, car ce chiffre pourrait augmenter fortement.
Ce qui aura pour effet, je cite :
"d'alimenter l'agitation sociale et l'érosion de la confiance des citoyens envers les gouvernements nationaux, le système financier et les institutions européennes".
Le chômage des jeunes en Avril 2012 s'est établi à 22% dans l'ensemble de la zone euro, tandis qi'il est de 30% en Italie, au Portugal et en Slovaquie.
En Grèce et en Espagne le chômage des jeunes avoisinne les 50% !
Des coupes claires dans les dépenses publiques ont, selon le rapport, conduit à une baisse prévisible de la demande intérieure, mais cela n'avait pas été pris en charge par l'augmentation prévue des exportations pour aider à stimuler la croissance.
En outre, 13 des 17 Etats de la zone euro ont mis en œuvre des réformes du marché du travail en facilitant le licenciement par les employeurs sans amplification visible de la création d'emplois :
"L'approche d'austérité a écarté la nécessaire réforme du système financier, l'épicentre de la crise. En effet, l'action sur ce front a progressé lentement."
La restauration du système financier doit prendre en compte les problèmes de solvabilité de nombreuses banques. Il souligne que la "fenêtre d'opportunité se referme" et que l'avenir de l'euro est dans la balance.
Faire la peau aux youpins et aux collabos français du sionistan français de tel aviv sera
RépondreSupprimerla meilleure des choses à faire si le veau décide de se révolter un jour, non pas avec des antidépresseurs, du pinard ou de la gueule en râlant mais par des actes et des armes pour aller faire la peau aux politocards collabos au sionisme et aux juifs
ça va pas la tete Il n'y a pas d'excuse a la violence et aux crimesOK pas cordialement .../Machtapur
SupprimerEt si vous alliez déverser votre haine ailleurs....? Vous êtes aussi ridicule que bêtement antisémite. Vous vous trompez d'ennemi, mon cher. Les gens comme vous n'apportent que la destruction, vous êtes totalement inutile en ce qui concerne notre problème avec les financiers. Vous n'apportez aucune solution.
SupprimerArmaggedon arrive grâce a cette pourriture mondialiste et oligarchique du sionistan français de tel aviv et ses youpins collabos ....
RépondreSupprimerEt ta sœur ?
Supprimeril faut tuer les cafards
RépondreSupprimerOui, en commençant par vous !
SupprimerLes Rotschild, Rockeffeler, Blankfein de Goldman Sachs, Madoff, Lheman Brothers, Bloomberg, Ben Shalom Bernanke (réserve fédérale américaine)et son prédécésseur Allan Greenspan...
SupprimerOn arrête ou on continue parce que la liste peut facilement s'allonger.Mais bon c'est vrai que le chantage à l'antisémitisme a mis la france et sa pseudo liberté d'expréssion au garde à vous.
Comment mélanger tout et n'importe quoi. Bravo !
SupprimerGarde à vous!!! Rompez !!! Une deux une deux une deux
SupprimerLa socialisation des dettes est au niveau national comme international, et la privation des gains ou des profits sont pour les banques qui sont internationales.
RépondreSupprimerLes islandais ont été confrontés à cette crise, de savoir quoi faire avec les dettes impossibles à gérer pour une population. C'est pourquoi le gouvernement islandais avait émis l'idée d'intégrer l' Union Européenne pour éponger ses dettes, il s'agit donc d'une mutualisation des dettes nationales et aussi au niveau international.
Les islandais par le biais de leur gouvernement ont pu s'exprimer par référendum pour leur avenir, et le refus de payer des dettes, que les citoyens auraient refuser de contracter pour se mettre en danger, a abouti à un vote exprimant un refus du paiement des dettes. Les banques étaient étrangères pour certaines dettes (dont la marge était importante), donc une internationalisation bancaire.
Lorsque plusieurs pays sur une même zone ont des dettes comme sur le territoire de l' Union Européenne, les emprunts ont un impact sur les autres pays. L'inter-dépendance des économies surtout en Europe où le commerce intra-communautaire a longtemps été majoritaire (peut-être encore mais vu le niveau des délocalisations), va de facto créer une aide pour assouplir la situation des partenaires voisins économiques. C'est une nouvelle mutualisation des dettes nationales à l'échelle international.
Les banques qui ont des prêts et des sièges à l'échelle internationale sont renfloués et aidés, et comme dans le cas de l' Islande ont des remboursements de prêts sur divers pays, il d'agit donc d'une mutualisation des dettes internationales. Seulement comme les citoyens des autres pays ne peuvent pas s'exprimer comme sur l'île islandaise, les citoyens subissent des baisses drastiques de budgets, des gels de salaires, une dérégulation du marché du travail ou encore une importation massive de produits inconcurrençable pour les produits locaux.
Je ne m'y connais pas, mais je me demande pourquoi on renfloue toujours les banques (qui sont tout de même la source du problème) et non pas directement les comptes des états ?
SupprimerParce que y a vos comptes bancaires dans les banques ?
SupprimerSinon les banques ne sont pas la source du problème mais une des conséquences.
Les effets de la mondialisation sur les citoyens :
RépondreSupprimer"En fait, une analyse correcte de la théorie du commerce international ne conduit en aucune façon à la conclusion que l’application à l’échelle mondiale d’une politique généralisée de libre-échange pourrait correspondre à l’intérêt réel de chaque pays, que ce soient les pays développés de l’Europe occidentale et de l’Amérique du Nord ou le Japon, ou que ce soient les pays en voie de développement de l’Europe de l’Est, de l’ex-URSS, de l’Afrique, de l’Amérique Latine, ou de l’Asie."
"Une mondialisation généralisée des échanges entre des pays caractérisés par des niveaux de salaires très différentsaux cours des changes ne peut qu'entraîner finalement partout dans les pays développés : chômage, réduction de croissance, inégalités, misères de toutes sortes."
http://osonsallais.wordpress.com/2010/01/21/les-effets-destructeurs-de-la-mondialisation/
La doctrine libérale de la mondialisation a mise en concurrence des secteurs d'activités spécialisés dans des productions de masse (les détruisant dans les pays industrialisés). Certaines ressources naturelles ne sont pas exploités au profit de territoires plus pauvres, alors que l'industrie locale peut continuer. Ses ouvertures de marchés n'ont jamais profités aux citoyens ni au savoir-faire local qui disparaît par la suite.
Il n'y a pas de volonté d'intégrer que des secteurs d'activités doivent être protéger par le biais du protectionnisme, puisque l'idéologie est de faire accepter que la concurrence est libre et non faussée. Pourtant la mondialisation prouve le contraire, l'exploitation de la pauvreté se fait par l'absence de droits sociaux, de santé, climat et d'environnement, et de la présence de la souffrance humaine.
Vrai, vrai et vrai. Le protectionnisme n'est pas un gros mot, ça consiste surtout à protéger les êtres humains face au libéralisme sauvage, qui en ce moment, frôle le cannibalisme...
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