Depuis plusieurs jours, vous entendez parler de QE3 de la Réserve Fédérale américaine... Un Quantitative Easing, comme ils disent... Je ne vais pas perdre mon temps à traduire ce que signifie ces initiales abrutinogènes qui ne servent qu'à enfumer votre cerveau sur leur véritable sens. Le plus drôle est que chaque chef de secte monétaire de son imprimerie centrale invente une mise en forme marketing des techniques d'imprimerie utilisées qui achèteront les dettes pourries d'une nation en faillite...
Pour "fêter" la planche à billets américaine, je vous propose de suivre une série d'articles...
Bonjour,
RépondreSupprimerJe ne puis que renouveler mon admiration pour votre site. Gratuitement, vous nous éveillez à cette crise effroyable qu’ILS mettent en place.
Ce sera la conséquence directe de l'action de nos dirigeants au pouvoir depuis 30 années. Les compères venus de l’ENA, de X et d’autres écoles se soutiennent et se servent dans la caisse. Les Banquiers sont en tête des voleurs. Ils ont obtenu la réserve fractionnaire, quelle escroquerie.
J’ai beaucoup apprécié le guide écrit par Lionel, et je recommande fortement son achat.
Il faut utiliser les moyens qu'il recommande pour se protéger de la catastrophe à venir.
J’espère qu’ils paieront pour les malheurs qui se préparent.
Jean-Pierre
Je ne suis pas aussi sûr que vous quant à la perspective de voir les politiciens qui,depuis plus de 30 ans nous ont mis dans ce pétrin,devoir payer pour leur forfaiture...
SupprimerN'oublions pas la formidable capacité "d'oubli" des Français avec une mémoire très courte...
Dans quelques mois la droite sarkosyste se sera refait une complète virginité.Un de ses principaux dirigeants en joue pleinement en "singeant" grossièrement Marine Le Pen...
Nous verrons bien vite si je me suis trompé!
Le bail de la FED expire le 22/12/2012 et non le 21/12/202. La FED a été créé le 23/12/2012 en concluant un bail de 99 ans. C'est raté pour l'adrénaline du truc maya.
RépondreSupprimerEt pour la petite histoire c'est le même Jim Sinclair qui avait annoncé que les CDS grecs représentaient $ 37 000 milliards et que leurs déclenchements sonnaient en gros la fin des haricots. Votre blog avait d'ailleurs relayé cet info (http://gold-up.blogspot.fr/2012/03/declenchement-des-cds-grecs-le-montant.html). Cette source n'a aucune crédibilité.
21 ou 22 on s en fout ça change pas ce qui va arriver
SupprimerBonjour
SupprimerCela fait déjà plusieurs mois, voire même une année, que des spécialistes nous disent que tout va s'effondrer, or rien n'a bougé les financiers, banquiers continuent à s'en mettre plein les poches et nous on continue à ramer et je ne pense pas que cette date soit disant fatidique le 20 déc va changer quoi que ce soit (effet médiatique) je pense que nous avons encore hélas plusieurs années devant nous pour être plumés. Tout pendant que les gens ont de quoi se nourrir il ne se passera rien (il leur reste encore des biens à leur saisir)
"21 ou 22 on s en fout ça change pas ce qui va arriver".Bien dit!!!!
SupprimerBravo pour votre travail !
RépondreSupprimerNéanmoins vous vous trompez en utilisant le terme hyper inflation, il s'agit en réalité d'hyper stagflation.
La différence entre ces 2 mots barbares ? Dans le premier cas de figure, les salaires augmentent avec l'inflation :-) pas dans l'autre.
Bonjour Monsieur Lionel,
RépondreSupprimerJ'ai récemment lu un article (avec référence)qui indiquait clairement que le mandat de la FED avait été prolongé indéfiniement par une loi vers les années 1954. C'est peu connu mais je crois que vous devriez vérifier cette information.
MARDI 2 OCTOBRE 2012 SUR ARTE : "NOIRE FINANCE"
RépondreSupprimer"Peut-on encore arrêter la finance folle ? Une enquête magistrale au coeur d'un capitalisme financier que plus personne ne maîtrise, et qui a plongé le monde dans de graves turbulences."
Suite:
http://www.telleestmatele.com/article-noire-finance-110438778.html
Je ne connais pas la ou les dates, en tout cas ce message pourra éventuellement servir.
RépondreSupprimerLes conséquences de l'hyperinflation mondiale sur l'individu peuvent être représenter à partir de la pyramide ou la hiérarchie des besoins de Maslow.
Pyramide des besoins de Maslow
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pyramide_des_besoins_de_Maslow
L'appauvrissement du niveau de vie de l'hyperinflation vient du fait que les prix sont en milliards d'euros, de dollars ou de huans, changeant constamment. C'est une perte d'accessibilité à l'emploi, chômage de masse, la santé les médicaments et, le corps l'hygiène hors de prix.
Le krach économique hyperinflationniste va pertuber tous les besoins physiologiques ou vitaux : boire, manger ou propreté de soi.
C'est en anticipant cette situation, donc en s'organisant sur l'après-krach, que l'on peut au mieux gérer un niveau de vie. Les produits ne circuleront pus aussi facilement, et les moyens de déplacements seront plus restreints.
Je ne connais pas la ou les dates, en tout cas ce message pourra éventuellement servir.
RépondreSupprimerLes conséquences de l'hyperinflation mondiale sur l'individu peuvent être représenter à partir de la pyramide ou la hiérarchie des besoins de Maslow.
Pyramide des besoins de Maslow
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pyramide_des_besoins_de_Maslow
L'appauvrissement du niveau de vie de l'hyperinflation vient du fait que les prix sont en milliards d'euros, de dollars ou de huans, changeant constamment. C'est une perte d'accessibilité à l'emploi, chômage de masse, la santé les médicaments et, le corps l'hygiène hors de prix.
Le krach économique hyperinflationniste va pertuber tous les besoins physiologiques ou vitaux : boire, manger ou propreté de soi.
C'est en anticipant cette situation, donc en s'organisant sur l'après-krach, que l'on peut au mieux gérer un niveau de vie. Les produits ne circuleront pus aussi facilement, et les moyens de déplacements seront plus restreints.
La situation des dettes actuelle peut être assimiler à la servitude pour dettes.
RépondreSupprimerPlus la dette est élevée, plus il y a des exigences de croissance et de rendements de plus en plus importants. Alors que dans le même temps, il y a une importation massive de produits, et une volonté d'ouvrir davantage de marchés pour l'importation.
La servitude pour dettes consiste à endetter monétairement une personne ou un Etat afin qu'il effectue un travail pour les rembourser.
Les dettes se contractent à des taux d'intérêts très élevés, et des emprunts qui se négocient entre les potiliques et les financiers. Les emprunts et taux d'intérêts exorbitants sortent du choix des citoyens. Seul l' Islande a pu par référendum rejeter ses choix, qui allaient entraîner le pays dans une austérité durable, au profit des banques.
Le renflouement des banques qui se comptent à plus de mille milliards (sans les intérêts additionés) rien que sur une année, seront rembourser par les contribuables.
Avec une dette qui dépasse (parfois) plus de 500% du PIB, entre l' Etat, les régions, les collectivités locales et les ménages. Ceci aux Etats-Unis, en Chine, en Union Européenne ou en Inde, où les dettes ont explosés. La servitude pour dettes par le discours de croissance, de dérégulation du marché, ou la précarisation par le gel des salaires publics ou privés peut amener une société à s'appauvrir, pendant que le marché rentable des dettes oblige à réaliser plus de productivité (dans tous les secteurs d'activités incluant les importations massives) sans redistribution des revenus, par servitude pour dettes.
Le capitalisme concentre les richesses, les 1% réalisent des bénéfices si colossaux, que le problème de la répartition des revenus se posent.
RépondreSupprimerLa répartition territoriale du capitalisme a créé des sources d'approvisionnement éloignées géographiquement pour les habitants. De plus, ses centres commerciaux avec leurs supermarchés de grande taille génèrent des profits très élevés et des salaires faibles pour ce qui y travaillent, une répartition des revenus très inégales, favorisant les nantis.
L'éloignement de la distance pour l'accès aux produits, comme boire, manger, l'hygiène et les produits de première nécéssité, ont concentrés les richesses, entre les multinationales. Celles-ci ont commencé par prendre les marchés de proximité, petits commerces ou artisans, ils n'ont pu faire face à la concurrence (déloyale) des multinationales, soutenus par les politiques de tous bord (sinon marginal).
Le fait qu'autant d'accès aux produits se situe en périphérie, et sur une surface proche, a de facto créer une dépendance à l'utilisation d'énergie (sur le marché de l'énergie) pour consommer, et à ses prix. Le prix du pétrole changeant constamment, donc profits colossaux à la clé, et krach économique, provoquant une crise de société.
Le centre commercial avec grande surface regroupe un hypermarché et un assemblement de grandes marques. Ce sont les seuls pouvant financer les prix pour s'installer, les commerces à son compte sont exclus, et n'ont aucune chance d'être majoritaire. De plus, sur cette surface géographique d'achats, la fabrication locale reste marginale.
Cette surface de concentration de multinationales et le vide de commerce de proximité (à son compte) en centre ville permets de manipuler les prix pour augmenter ses bénéfices, station essence comprise. Et non seulement, les salaires ne suivent pas, et sont revus à la baisse ou écraser, mais en plus, les contrats précaires sont la norme actuelle de propositions de contrats.
Comme le profit est la donnée principale, le reste étant juste une variable d'ajustement. L'expansion, par l'implantation géographique, est le moyen de développement sans la moindre limite. Des aspects de la société comme la limitation des ressources naturelles disponibles (climat ou environnement) ou une meilleure redistribution des revenus pour la cohésion sociale (ou sa stabiliter) sont inexistantes, afin de réaliser des sommes accumulées de profits.
Le capitalisme concentre les richesses, les 1% réalisent des bénéfices si colossaux, que le problème de la répartition des revenus se posent.
RépondreSupprimerLa répartition territoriale du capitalisme a créé des sources d'approvisionnement éloignées géographiquement pour les habitants. De plus, ses centres commerciaux avec leurs supermarchés de grande taille génèrent des profits très élevés et des salaires faibles pour ce qui y travaillent, une répartition des revenus très inégales, favorisant les nantis.
L'éloignement de la distance pour l'accès aux produits, comme boire, manger, l'hygiène et les produits de première nécéssité, ont concentrés les richesses, entre les multinationales. Celles-ci ont commencé par prendre les marchés de proximité, petits commerces ou artisans, ils n'ont pu faire face à la concurrence (déloyale) des multinationales, soutenus par les politiques de tous bord (sinon marginal).
Le fait qu'autant d'accès aux produits se situe en périphérie, et sur une surface proche, a de facto créer une dépendance à l'utilisation d'énergie (sur le marché de l'énergie) pour consommer, et à ses prix. Le prix du pétrole changeant constamment, donc profits colossaux à la clé, et krach économique, provoquant une crise de société.
Le centre commercial avec grande surface regroupe un hypermarché et un assemblement de grandes marques. Ce sont les seuls pouvant financer les prix pour s'installer, les commerces à son compte sont exclus, et n'ont aucune chance d'être majoritaire. De plus, sur cette surface géographique d'achats, la fabrication locale reste marginale.
Cette surface de concentration de multinationales et le vide de commerce de proximité (à son compte) en centre ville permets de manipuler les prix pour augmenter ses bénéfices, station essence comprise. Et non seulement, les salaires ne suivent pas, et sont revus à la baisse ou écraser, mais en plus, les contrats précaires sont la norme actuelle de propositions de contrats.
Comme le profit est la donnée principale, le reste étant juste une variable d'ajustement. L'expansion, par l'implantation géographique, est le moyen de développement sans la moindre limite. Des aspects de la société comme la limitation des ressources naturelles disponibles (climat ou environnement) ou une meilleure redistribution des revenus pour la cohésion sociale (ou sa stabiliter) sont inexistantes, afin de réaliser des sommes accumulées de profits.
La politique est devenue l'une des composantes de la finance. En Grèce, le parti Syriza a gagné une élection, qui n'a pas été poursuivi par une assemblée, puisque les marchés financiers, dont l' Union Européenne fait partie pour appuyer les décisions, ont finis par refuser la validation de l'élection du peuple votant grec.
RépondreSupprimerLe TSCG, n'aura même pas de consultation populaire, et certains pays comme l' Angleterre ou la République Tchèque ont pu s'exclure de ce processus, pour des raisons. Comme pour le référendum de 2005 qui devait créer, à la suite du résultat, de nouveaux choix de société, c'est par le traité de Lisbonne voté par les politiques, que se décidera les choix financiers d'avenir, sous le signe de l'austérité, que les allemands soutiennent, après être revenu dans le leadership européen.
Les grecs ont votés pour le parti Syriza, parce qu'ils ne prônaient pas une austérité dont la population ferait les frais. Comme la finance, par le biais de la Banque mondiale ou du FMI, soutenue par l' Union Européenne, ont été en désaccord avec cette politique financière, l'élection a été annuler.
Il n'y a plus de possibilités politiques pour les citoyens de faire entendre leurs voix, puisque les partis politiques, qui sont en désaccord avec des choix financiers des marchés ou des grandes holdings de la finance, ne peuvent accéder aux responsabilités de l' Etat, et se voît refuser l'accès à la gestion des services publics.
La Grèce a vu par la suite un ancien dirigeant de banque, de Goldman Sachs, accéder au poste principal de la République (il y a problème de conflits d'intérêts dans ce cas). C'est à dire pour appliquer les projets de la finance, avec notamment un marché rentable des dettes. L' Union Européenne était à la base un commerce régional, pour favoriser les industries nationales et continentale, et est devenue un organisme européen mondialiste et financier.