La crise financière orchestrée par Goldman Sachs et la Réserve Fédérale américaine semble porter ses fruits comme l'avait convenu le groupe Bilderberg en 1977. Renverser des gouvernements devient un jeu d'enfant : il suffit de dynamiter les banques de l'intérieur avec la complicité des agences de notation et de virer les chefs de gouvernements des pays goinfrés au crédit afin de faire croire au peuple que les problèmes seront résolus avec de nouvelles têtes (dettes). Pendant que la populace hurle au scandale contre les banques et l'irresponsabilité de leur chef de gouvernement, leurs élus les remplacent par des "marchands de dettes" : des banquiers... Les pions se mettent en place, pourtant, Mitterrand nous avait prévenu...
Lors de la réunion du groupe Bilderberg à Torquay en 1977, le journal Libération publia une analyse de Roger Mennevée affirmant que ce groupe envisageait d’instaurer un gouvernement mondial dirigé par les États-Unis, qui comporterait l’abandon des souverainetés nationales, l’instauration d’une planification technique de l’économie, et l’établissement d’une monnaie internationale. L'ex-agent d'un service de renseignement espagnol, Luis M. González-Mata, en 1979, dans son livre "Les vrais maîtres du monde", est l'un des premiers à dévoiler l'existence et le fonctionnement du Groupe Bilderberg.
Ancien conseiller économique à la Federal Reserve de Boston de 1980 à 1984, Lukas Papademos semble parfaitement armé de son expérience dans l'imprimerie pour envoyer la Grèce par le fond plus vite que prévu. Gold-up lui communique tous ses vœux de succès dans la mise en esclavage du peuple grec en optant pour une inondation de papier (n'oubliez pas votre gilet pare-balles Mr Papademos)... La feuille de route qui sera dévoilé aujourd'hui sera claire : trouver un maximum d' Euro-photocopieuses avec sa tête de premier de la classe.
Coup d'Etat N°2 : Goldman Sachs pirate la photocopieuse de la BCE
Mario Dragui, vice-président de Goldman Sachs en Europe et complice dans le maquillage des comptes publics grecs, devient le banquier le plus puissant d'Europe à la place de Jean-Claude Tricherie. Le groupe Bilderberg n'aurait pas pu trouver meilleur poste au sommet de la la pyramide de Ponzi européenne qui connait par cœur où se trouve la touche Ctrl+Print de la photocopieuse.
Mario Dragui, vice-président de Goldman Sachs en Europe et complice dans le maquillage des comptes publics grecs, devient le banquier le plus puissant d'Europe à la place de Jean-Claude Tricherie. Le groupe Bilderberg n'aurait pas pu trouver meilleur poste au sommet de la la pyramide de Ponzi européenne qui connait par cœur où se trouve la touche Ctrl+Print de la photocopieuse.
Membre du comité de direction du groupe Bilderberg, Mario Monti accède en 2005 au niveau de "International Advisor" de Goldman Sachs, et devra désormais se charger de maquiller les comptes de l'Italie afin qu'elle n'implose pas trop vite avec l'aide de son collaborateur de la BCE. Les italiens vont amèrement regretter les galipettes de Berlusconi quand nos 2 zigottos commenceront à les envoyer sur les galères romaines à grands coups de rabots fiscaux et sociaux.
Voici la suite logique d'après Gold-up de tout ce cirque : Coup d’État bancaire N°3 en préparation en Espagne et coup d’État militaire N°4 en préparation au Portugal...
Et tout ceci pour du papier-toilettes vendu par des banquiers...
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