mercredi 30 novembre 2011

Lyndon Larouche : Les Britanniques et Obama déterminés à annihiler nucléairement les pays stratégiques d’Asie

Le très controversé Lyndon Larouche est un homme politique américain qui dispose de nombreuses sources au sein du gouvernement US. Il inspire le mouvement politique français "Solidarités et Progrès" soutenu par Jacques Cheminade et leurs analyses sur la conjoncture économique et géo-politique semblent converger vers une conflagration nucléaire mondiale : l'issue à la crise de la dette que nous connaissons.
Les livres d'Histoire confirment effectivement que les plus grandes crises financières ont toujours fatalement mené à la guerre...


Voici l'article visible sur leur site ce 30 novembre :

Le Pakistan a qualifié de « délibérée » l’agression américaine contre deux postes militaires pakistanais samedi dernier. L’attaque aérienne a tué 28 soldats pakistanais et ne peut en aucun cas être une simple « bavure ». Elle a été menée en deux vagues d’assaut d’une heure chacune contre des bases clairement marquées du drapeau pakistanais et indexées sur les cartes américaines, et alors que les soldats pakistanais ont lancé de nombreux appels radio. 

Le Commandement conjoint des opérations spéciales américain (JSOC), qui opère hors des structures de commandement militaire classiques et reçoit directement ses ordres de la Maison Blanche, est depuis longtemps montré du doigt pour ses campagnes d’assassinats ciblés par drone dans la zone tribale pakistanaise. 

Tout porte à croire qu’il s’agit d’une provocation délibérée alimentant l’escalade vers un conflit nucléaire mondial ; c’est ce qu’a indiqué Lyndon LaRouche hier, après avoir reçu des rapports de sources sur l’incident pakistanais :
C’est très simple, il s’agit d’une question bien plus vaste que cela : le Pakistan est un pays compliqué dont la caractéristique principale est sa position géographique – bien malheureuse pour lui – puisqu’il se situe en Asie. Toute nation d’Asie ayant une quelconque importance stratégique est sur la liste pour être détruite. Il ne faut donc pas adopter une approche pays par pays : le fait est que les Britanniques et Obama sont déterminés à annihiler par l’arme nucléaire l’ensemble des pays d’Asie qui représentent quelque chose ; et comme le Pakistan est en Asie... Mais le fait est que le Pakistan est un pays compliqué ; malgré les choses folles qui s’y passent, le pays a des intérêts véritables. Je pense que dans ce cas, il ne faut pas le considérer comme responsable, mais plutôt comme victime.
Pensez que le Pakistan est un pays frontalier de l’Iran ; mais aussi et surtout qu’il est très proche de la Chine. Ses capacités militaires ont été construites en coopération avec les Chinois. Et on a cette situation folle dans laquelle, une querelle entre l’Inde et le Pakistan jouerait évidemment en faveur de l’ennemi. Le problème en Inde, c’est qu’il y a trop de gens complaisants à l’égard de l’Empire britannique.
L’enjeu auquel nous sommes confrontés est l’arme nucléaire. C’est une conflagration stratégique visant à détruire l’ensemble de ce qui est viable en termes de capacités industrielles, technologiques, etc. dans toute l’Asie. Nous avons pu l’empêcher dans une certaine mesure car certains militaires américains sont montés au créneau, mais le plan britannique était de se lancer immédiatement après la guerre en Libye, dans une attaque thermonucléaire préemptive sur l’Asie. Tous les pays d’Asie qui ont un potentiel technologique vont être détruits.
On a pu retarder l’échéance, mais ça devient compliqué car entre temps, alors que les bombes n’ont pas été lancées, l’Europe entre en désintégration car son système de renflouement ne tient plus. Cela génère des complications.
L’attaque américaine ne laisse aucune marge de manœuvre au Pakistan pour faire des compromis. Cela va de paire avec la mise à sac de l’ambassade britannique en Iran. Tout ce qui représente un quelconque potentiel technologique en Asie est visé. La menace est une frappe thermonucléaire préventive, ce qui ne laisse pas vraiment de marge pour différentes options.

Une banque française sauvée de justesse aujourd'hui

Le magazine Forbes repris sur le site ZeroHedge.com nous informe qu'une banque française aurait été sauvée in extremis aujourd'hui suite à un problème de liquidités immédiates !

Étrange intervention des plus grandes banques centrales de la planète : La FED, la BCE, la Banque du Japon, la Banque de Chine, la banque centrale Suisse et la Banque Centrale d'Angleterre sont intervenues conjointement et de manière inopinée aujourd'hui.

"Il semble qu'une grande banque européenne aie subi une "panne de liquidités" la nuit dernière, en particulier parmi les banques françaises. Étant donné qu'elles s'appuient fortement sur ​​le financement par le biais des marchés monétaires de gros, il semble qu'une grande banque avait du mal à financer ses besoins immédiats".

Les banques centrales ont acheté quelques jours, tout au plus, avec un pansement de liquidités.

Les recommandations de Gold-up restent les mêmes : vos liquidités sont en danger sur vos comptes bancaires, faîtes le nécessaire pour préserver vos biens.

ALERTE INFO : Plusieurs multinationales se préparent à l'éclatement de l'Euro

(CNN) : Actuellement, plusieurs entreprises internationales se préparent à un éventuel éclatement de la zone euro, selon des entretiens avec des dizaines de cadres de multinationales.

Craignant que les dirigeants politiques européens ne parviennent pas à contrôler la propagation de la crise de la dette souveraine, plusieurs chefs d'entreprises disent qu'ils se sentent obligés de protéger leur société.

Souvenez-vous, lorsque le couple Merkozy avait soulevé la perspective d'une sortie grecque de la zone euro au début de ce mois, pour la première fois, de hauts responsables européens avaient osé remettre en question la pérennité de leurs 13 ans d'expérimentation de l'union monétaire.

Des constructeurs automobiles, des groupes d'énergie, des entreprises de biens de consommation et d'autres multinationales sont entrain de se préserver contre un risque de dévaluation monétaire brutale en plaçant leurs réserves de trésorerie sur des placements sécurisés tout en contrôlant les dépenses non essentielles.

Siemens a même créé sa propre banque afin de déposer des fonds auprès de la Banque centrale européenne et va mettre à la porte 17000 travailleurs d'ici 2013 (25% de ses effectifs) !

Aujourd'hui, les imprimantes des banques centrales (FED, BCE et les autres) ont choisi conjointement de gaver massivement les banques commerciales d'un actif hautement toxique : la monnaie-papier.

Pendant ce temps, les obligations-Cetelem européennes continuent leur envolée :


Grèce : 32%
Portugal : 14,05%
Irlande : 8,20%
Espagne : 6,23%
Italie : 7,22%


Ces niveaux de rendements sont absolument intenables !
Ces opérations de mise en lévitation artificielle des marchés ne pourra plus durer longtemps.


Cette action de dopage aura un effet de très courte durée sur les Bourses mondiales, la paire de devises EUR/USD et les valeurs artificielles des actions (industrielles et bancaires) tomberont de plus haut encore...



Les entreprises bien informées se préparent à la "fin de partie"

Certains se penchent sur des conseils d'experts et sur les conséquences juridiques d'une scission de la zone euro concernant les contrats commerciaux transfrontaliers et les accords de prêt.

En revanche, la plupart des petites et moyennes entreprises ont peu, voire aucune préparation financière et juridique.

Certaines entreprises d'envergure mondiale prétendent qu'un éclatement de l'euro serait sombre, mais gérable. Volkswagen Autoeuropa, la section portugaise du constructeur automobile allemand estime que "la conclusion est que l'impact global ne serait pas si négatif pour notre société, car nous sommes essentiellement exportateurs et notre groupe est présent dans le monde entier."

Certains dirigeants français, italiens et espagnols déclarent que des plans sont en place en cas de turbulences financières et économiques graves, mais ne sont pas préparés en cas de rupture de l'euro

Le risque, à leurs yeux, est que la stabilité de la zone euro pourrait devenir une menace encore plus grande si les gens savaient que les entreprises envisagent le pire.

Remarque personnelle : Pour la France, sachant que le tissu économique est composé de plus de 80% de PME et PMI, je pense qu'il faut nous attendre à ce que l'éclatement de l'Euro conduise à de nombreuses faillites dans ce secteur de l'économie entraînant, de facto, des émeutes dans les grandes agglomérations suite à la fermeture d'établissements bancaires ruinés par la forte dévaluation monétaire et les plans sociaux en cascade.

Pour reprendre l'article du Telegraph, le Foreign Office avertit : « Préparez-vous à des émeutes lors de l’effondrement de l’euro ».

Mes chers lecteurs, le moment de vérité approche mais il est encore impossible de donner un agenda précis tant les politiques, les institutions financières et la press-titution s'efforcent de nous cacher la réelle vérité sur la situation économique.

Efforcez-vous de vous préparer à des événements qui pourraient avoir un impact majeur sur votre vie. Lisez et informez-vous sur la manière dont les gens ont survécu en temps de crise financière extrême dans d'autres pays (Argentine, Zimbabwé, etc...). Vous aborderez les événements de manière plus sereine et serez un réconfort pour votre famille et vos proches.

"La préparation concrète et préventive est un acte d'intelligence et de sagesse"

Vidéo : Olivier Delamarche comme vous ne l'avez jamais vu !

Une vidéo "amateur" mais toutefois pédagogique du site ArretSurImage.net d'une durée de 91 minutes sur le point de vue d'Olivier Delamarche à propos de la crise financière. Un reportage riche d'enseignements sous la forme d'un rendez-vous privé avec Platinium Gestion.

Vous découvrirez : 
- comment les banques enfreignent la loi pour maquiller leurs bilans avec les "goodwills"

- l'illégalité du FESF,

- la manipulation des médias ou les chiffres officiels sur le chômage,

- le charlatanisme des économistes des plateaux TV (Olivier vous donne des noms de ceux qui vous endorment !),
- des conseils de lecture pour prendre la vraie mesure de la situation financière mondiale,

- quels sont les placements à risques (banques, obligations d’État, immobilier, valeurs industrielles...),
- pourquoi la Réserve Fédérale ou la monétisation des dettes accentuera la violence de l'effondrement futur des valeurs boursières
- et tant d'autres précieuses informations...



... et sa dernière intervention sur BFM Business qui conseille aux gens d'ouvrir les livres d'histoires afin de comprendre que cette crise se soldera par "des émeutes ou une guerre"...



Vous devez partagez cet article sans aucune modération à tous vos contacts !

mardi 29 novembre 2011

Banque du Vatican : l'Italie devra affronter le risque de faillite

Ettore Gotti Tedeschi, président de l’IOR, la « banque du Vatican », estime que faute de réformes rapides, l’Italie devra affronter le risque de la faillite. Pour le « banquier du pape », les éventuelles interventions du FMI ou de la BCE ne sauraient suffire à résoudre la crise italienne.

Parmi les réformes attendues, celui qui présida également la banque Santander en Italie attend des mesures incitatives à la croissance pour relancer la compétitivité du pays : diminution des dépenses publiques, flexibilité du travail, lutte contre l’évasion fiscale.

« Même si, ces trois dernières années, nous avons réduit notre déficit plus qu’aucun autre pays européen, l’Italie souffre toujours d’une faiblesse de la croissance », a-t-il déclaré au quotidien La Stampa .

Pour expliquer la crise des liquidités qui frappe actuellement l’Europe, Ettore Gotti Tedeschi met en cause « le sauvetage manqué de la Grèce, qui a démontré la fragilité de l’Union européenne, et le pronunciamento de la Maison-Blanche, en juillet dernier, sur une possible insolvabilité des banques européennes ».

Source : LaCroix.com

ALERTE INFO : Groupama proche de la faillite

Cerise ira-t-elle pointer au Pôle Emploi pour le Jour de l'An ? Du fait de son exposition à la dette souveraine grecque (3 milliards d'euros), le 6ème assureur français se trouverait en sérieuses difficultés financières et mettrait en péril des milliers d'emplois d'ici la fin de l'année.

Groupama est proche du démantèlement (mot à la mode pour dire faillite). Si vous êtes client(e) de cet établissement (épargne, compte bancaire ou assurance-vie), Gold-Up vous recommande vivement d'adopter le principe de précaution en transférant provisoirement vos avoirs vers un autre établissement dans l'attente qu'une solution soit trouvée (s'il y en a une...).

Groupama doit lever 1,8 milliards d'euros en vendant sa filiale GAN Eurocourtage et 44% au capital du groupe immobilier Silic. Cette opération doit être actée avant le 31 décembre afin de ne pas être confrontée à un démantèlement à la façon Dexia.

La vente d'actifs sous le coup de l'urgence n'est pas du tout très bon signe.

En septembre dernier, l'établissement a déjà subi une dégradation d'un cran de sa note de crédit à BBB au lieu de BBB+ par S&P. 

L'agence de notation avait commenté : « Nous pensons également que les marchés dégradés et très volatils continuent à peser sur la situation financière de Groupama et augmentent le défi que constitue le renforcement des fonds propres ».

Un abaissement supplémentaire positionnerait la société à un cran des catégories, dites, spéculatives.

Sans compter que la note de la France pourrait être placée sous perspective négative sous une semaine à 10 jours !

Par ailleurs, Moody's vient de placer 7 établissements bancaires français sous surveillance et 80 autres au niveau européen.

Ces éléments combinés pourraient infliger un coup fatal à l'établissement.
Si les salariés s'inquiètent de leurs emplois, inquiétez-vous de vos économies...

Après la faillite du 1er créancier des collectivités locales françaises (DEXIA), serait-ce au tour du 1er assureur ?...

Écoutez l'audio ci-dessous :

lundi 28 novembre 2011

Pourquoi faut-il virer le FMI pour résoudre la crise de la dette ?

Voici une vidéo qui montre pourquoi l'austérité imposée par le FMI tuera l'Europe. L'Argentine est riche d'enseignements...


8 façons de montrer à vos amis que l'Euro se meurt... avant Noël ?

Nous entrons en fin de partie du grand jeu de Monopoly-Euro. Je me souviens encore de l'affront de mes amis et ma famille quand je leur disais que nous étions proche d'un effondrement économique sans précédent. A l'époque, je ne pouvais pas m'appuyer sur des articles de la grande presse économique internationale mais uniquement sur des analyses personnelles et celles de spécialistes marginaux indépendants. Si vos proches vous prennent encore pour un(e) fou(folle) quand vous leur conseillez d'aller vider leur compte bancaire avant qu'ils n'aient plus que les yeux pour pleurer, communiquez-leur cette page... 


Voici 8 façons de montrer à vos amis que vous avez raison...


1- Wolfgang Munchau du Financial Times estime qu'il reste 10 jours de vie à l'Euro :

"Si le sommet européen peut déboucher sur un accord le 9 Décembre, la zone Euro survivra. Dans le cas contraire, la monnaie unique risque un violent effondrement. Même si le Conseil européen est en mesure de s'entendre sur un programme ambitieux (improbable), ses dirigeants devront continuer à se surpasser durant les mois et les années à venir."

Finalement, Münchau estime que ...

"La vente aux enchères du bon du Trésor italien a été désastreux ce vendredi et le temps nous est compté. La zone Euro a 10 jours, tout au plus."



2- James Kirkup, rédacteur en chef adjoint de la section politique du Telegraph titre que :

"les diplomates britanniques vivant en Europe doivent se préparer à un effondrement bancaire et même des émeutes liées à la crise de la dette."

"Le Trésor a confirmé plus tôt ce mois-ci la mise en place d'une planification d'urgence dans le cas d'un effondrement."
"Un ministre de premier plan révèle l'ampleur de la préoccupation du gouvernement, et que l'effondrement de l'euro n'est maintenant qu'une question de temps."


3- Les économistes Peter Boone (directeur principal chez Salute Capital Management) et Simon Johnson (ex-chef économiste au FMI) estiment sur Bloomberg que :

"des paniques bancaires et une fuite de capitaux à grande échelle hors de l'Europe sont à prévoir"


"l'Allemagne et quelques autres vont quitter l'euro pour former leur propre monnaie"


4- Le quotidien The Economist se lâche en annonçant "une disparition imminente" :

"A moins que l'Allemagne et la BCE n'agissent rapidement, l'effondrement de la monnaie unique est imminente"

"Les chances que la zone euro se brise ont augmenté de façon alarmante"

"N'importe quel événement, telle que la défaillance d'une grande banque, l'effondrement d'un gouvernement ou des adjudications ratées d'obligations, pourrait provoquer sa disparition"

5- Le Wall-Street Journal prépare ses lecteurs à "considérer l'effondrement de l'Euro comme une chose sérieuse" : 


"les marchés sont de plus en plus convaincus que les autorités perdent le contrôle de la crise la plus effrayante en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale"

"Les avocats financiers confirment que c'est une question de plus en plus populaire pour eux en ce moment."

6- Moody: "la probabilité de défauts de paiement multiples de pays de la zone n'est plus négligeable"

"la crise du crédit bancaire menace la solvabilité de tous les pays souverains européens"


"La crise des liquidités se poursuit, la probabilité de défaut va continuer à augmenter"

7- Les taux de rendements des dettes souveraines européennes à 10 ans ressemblent à du crédit Cetelem :

Lundi 28 Novembre à 17h05 : 

Belgique : 5,58%
Espagne : 6,56%
Italie : 7,20%
Irlande : 8,20%
Portugal : 13,44 %
Grèce : 30,90 %

Même le bonhomme en gazon propose mieux à ses pigeons pour leurs achats de Fin d'Année...











8- Vidéo : Pour BFM Business, l'euro sent le sapin... de Noël :



Suivez attentivement l'évolution de la paire de devises EUR/USD : tous les professionnels du Forex parient sur une tendance baissière. Sous 1,28 dollar, l'euro enfonce ses clous dans le cercueil.


Que faire maintenant ?
1ère étape : Transmettre cet article à vos proches
2ème étape : Transformer votre épargne à long terme en valeurs tangibles 
3ème étape : Suivre très attentivement les prochains articles de Gold-up (postez vos commentaires à tout moment ou toute question ci-dessous)

jeudi 24 novembre 2011

Russie : Medvedev brandit la menace de feu nucléaire si l'OTAN persévère dans sa politique guerrière

La possibilité d'une invasion aérienne imminente (et potentiellement des terres) ciblant la Syrie par le «monde occidental» est-elle le déclencheur d'une 3ème guerre mondiale ? La Russie et la Chine ont fait clairement savoir qu'ils ne resteraient pas les bras croisés en laissant une telle "agression" se réaliser. A présent, c'est au tour de la Russie de riposter. Dans une apparition télévisée à l'échelle nationale du président russe Dmitri Medvedev, il développe pourquoi la Russie considère qu'une incursion active et un acte d'agression potentielle des pays de l'OTAN en Europe de l'Est (et donc les Etats-Unis) représente une menace pour sa nation.


Voici sa stratégie en 5 points :

"1- Je demande au Ministère de la Défense de mettre la station radar anti-missile positionnée à Kaliningrad en alerte de combat


2- La protection des armes nucléaires stratégiques de la Russie sera renforcée par une mesure prioritaire dans le programme des activités militaires de notre espace aérien.


3- Les nouveaux missiles balistiques stratégiques embarqués par les forces de la Marine seront équipés de systèmes avancés de pénétration de défense ainsi que de nouvelles ogives très efficaces.


4- J'ai demandé aux forces armées de définir des mesures permettant de désactiver les données du système de défense anti-missiles et de systèmes de guidage si nécessaire.


5- Si ces mesures s'avèrent insuffisantes, la Fédération de Russie déploiera des systèmes modernes d'armes offensives à l'Ouest et au Sud du pays afin d'assurer notre capacité à saisir l'ensemble ou une partie du système de défense anti-missiles américain en Europe.


Une étape dans ce processus sera de déployer des missiles Iskander dans la région de Kaliningrad. D'autres mesures pour contrer le système de défense anti-missiles européen seront prises et mises en œuvre si nécessaire."
Afin d'activer les sous-titres en français, utilisez la touche "cc" en bas de la vidéo.




De plus, la présence américaine dans les eaux septentrionales constitue une menace pour le potentiel nucléaire russe. Un diplomate a ajouté qu'il s'agissait d'une "tentative de rompre l'équilibre stratégique entre la Russie et les Etats-Unis".

Et Moscou ne manque pas de prévenir qu'une attaque de l'Iran serait une grave erreur...

C'est tout de même curieux, vous ne trouvez pas ?

Plus l'économie américaine se liquéfie, et plus les États-Unis se comportent de manière provocante...

Comme quoi, peu de choses ont changé dans la mentalité du bon vieil empire britannique du 19ème siècle...

Qu'est ce que vous avez prévu pour Noël ? 

Des provisions, de l'iode, un bunker anti-radiation ?

mercredi 23 novembre 2011

4 raisons de vider votre Livret A avant Noël 2011

Beaucoup d'économistes ont dit que la période estivale 2011 était l'été meurtrier des acteurs financiers, Gold-Up pense que cet hiver sera un remake du Père Noël est une Ordure, version Banqueroutes en Cascade. Si vous avez encore l'inconscience de conserver le gros de votre épargne sur un Livret A ou sur un contrat d'assurance-vie avec fonds en Euros, je ne peux plus rien pour vous, fermez votre PC et poursuivez votre coma entre la bière et le foot. Âmes financièrement sensibles s'abstenir...



1- Reuters nous informe que l'émission obligataire allemande d'aujourd'hui est, je cite, "un désastre".
Même la "dette refuge" européenne fait fuir les marchés, et la Bundesbank a dû mettre la main à la poche pour sauver sa vente aux enchères !

Marc Ostwald, stratégiste chez Monument Securities à Londres déclare que :
"C'est une catastrophe complète et totale". "Cela ne présage rien de bon, c'est la pire des ventes aux enchères de l'année."
Monsieur le Marché n'en veut pas car la crise de la dette souveraine l'a rendu intelligent : il sait que si l'Allemagne accepte les Euro-Bonds (dette européenne mutualisée), la qualité de la dette allemande risque d'en prendre un sacré coup...

Mais en plus avec une inflation à 3,1%, le taux de rendement de 2% passe à ... - 1,1% !



Qui veut un placement à -1,1% net d'inflation ? Oups...

Ce type de placement me rappelle le Livret A ou le Livret de Développement Durable (ah...ah...ah, comme c'est joli)... C'est tellement simple de dire à un client naïf qu'il obtiendra un magnifique placement disponible à 2,25% alors que le banquier se garde bien de lui parler du taux d'inflation (l'impôt invisible).

Avec une inflation à 3,10%, le rendement de ce plan est de -0,85% : même si vous ne croyez pas à l'effondrement économique prochain et la faillite de grandes banques européennes dans les prochains mois, vous comprenez qu'il faut songer sérieusement à repositionner le plus gros de votre épargne sur autre chose avant que le banquier ne vous envoie un courrier du type : "L'accès à vos liquidités est momentanément suspendu"ou que vos 15000 € ne soient nécessaires pour remplir un seul chariot de courses.


L'Argent de Isaac Isitan (2003) - 1Sur4 par Lesbrasmentombent



Des rumeurs de monétisation des dettes souveraines devrait rappeler de tendres souvenirs des années 30 aux aînés allemands...

Monsieur le Marché, lui, n'en veut pas du Livret A européen (Bond allemand à 10 ans). Il se comporte comme certains français qui commencent à découvrir l'escroquerie du plan épargne le plus sûr (pour les banquiers).


Les ventes de ce produit issu d'une étude poussée sur le comportement des pigeons se sont effondrées au 3ème trimestre. (Lu ici).



2- Dans la dernière newsletter de Simone Wapler des Chroniques Agora, 
"des milliards d'euros d'épargne privée disparaîtront, Les personnes âgées verront leurs retraites si diminuées qu'ils devront s'en remettre à la bonne volonté -- et surtout au porte-monnaie -- de leurs enfants pour ne pas finir à la soupe populaire. Et que dire de leurs propres enfants ? Ils n'auront même plus, pour la plupart, de travail ou de source de revenu fixe."
 "notre pays particulièrement vulnérable au pire des scénario"
 Des propos qui se passent de commentaires, sachant que Simone et son équipe travaillent sur le sujet depuis plus de 10 ans. Ils avaient annoncé à leurs clients l'éclatement de la bulle internet en 2000 et la crise des dettes privées "subprime" aux USA.

Elle annonce désormais la faillite INEVITABLE de la France et nous a expliqué le processus de destruction de l'économie française qui nous mènera à la banqueroute généralisée !

Si vous les suivez, vous recevrez de précieuses informations et sans doute les meilleurs conseils pour protéger votre épargne de manière efficace (et il n'y a pas que l'or et l'argent !)



3- Gérald Celente, célèbre analyste en prévisions économiques
Il "affirme que l'économie américaine devrait totalement s'écrouler d'ici 2014" et a déclaré cette semaine une fermeture généralisée des banques après Noël :

"Préparez-vous pour un « Bank Holiday » après les fêtes de Noël ! Je dis ceci parce que je suis persuadé que le système entier est en train de s’effondrer. Je pense qu’ils vont le maintenir jusqu’à Noël, pour pouvoir sucer au maximum tous ces gens qui vont dépenser l’argent qu’ils n’ont pas [à crédit ] en achetant des conneries de Noël dont ils n’ont pas besoin. Ensuite, dès que cette mascarade sera finie – BOUM le système s’écroulera".




4- Jean Tulard : "Nous finirons sur une banqueroute, c'est inéluctable"

Universitaire et historien français, Jean Tulard a été le « conseiller historique » du film La Révolution française, réalisé par Robert Enrico et Richard T. Heffron. Il connaît mieux que quiconque sur cette planète le fondement qui a mené le peuple à renverser la monarchie (oligarchie d'aujourd'hui) : une crise des finances publiques...


mardi 22 novembre 2011

Gold-up a réussi à infiltrer le mini-sommet Bilder-Merkozy de jeudi prochain !

Comme l'annonce le Figaro, un mini-sommet qui réunira Mr Bilderberg-Monti et le couple européen de l'année va se dérouler à Strasbourg. Un déjeûner de travail (banquet-beuverie sur le compte du contribuable) est prévu. Il sera suivi d'une conférence de presse (spectacle de guignol) dès 14h.

Si vous n'aviez rien prévu, ne prévoyez rien. Ils n'ont rien prévu non plus : sûrement quelques litres de bière..

Gold-up a réussi à infiltrer les coulisses de préparation de cette rencontre au sommet et vous communique en exclusivité mondiale les premières images de la répétition de Nicolas(chut... n'en parlez à personne ):

Olivier Delamarche : il n'y a pas de solution, la zone euro va éclater

"Quand vous êtes à 300 km/h à 3 mètres du mur, çà sert à rien de changer le pilote, de toute façon, vous allez vous taper le mur"

"Ça fait 2 ans et demi que l'on joue aux cons, donc on va finir par le payer"
 Observez-bien le journaliste-autruche s'appelant Guillaume (censé être un reporter de l'économie de la 1ère chaîne de (désin)formation de France) qui a planté toutes ces prévisions depuis le début de la crise grecque : pathétique.

12 citations qui montrent que le système financier mondial est mort

Le monde est au bord de la falaise d'un effondrement financier massif. L'Occident se noie dans le plus grand océan de dettes de l'Histoire humaine. Nos marchés financiers sont de gigantesques casinos tributaires d'énormes montagnes de risque et d'effets de levier. Finalement, ce château de cartes construit sur des fondations de sable est sur le point de s'écrouler. Quelques-uns des meilleurs professionnels de la finance du monde nous disent pourquoi les choses vont bientôt devenir notre pire cauchemar. C'est un désastre que chacun peut voir venir, mais que personne ne semble pouvoir empêcher.

En ce moment, la panique et la peur se répandent comme une traînée de poudre dans le monde financier et personne ne sait avec certitude ce qui va arriver ensuite.

Mais une chose est certaine. Le pessimisme se renforce de jour en jour.

Voici 12 citations de personnalités influentes de la finance mondiale sur l'effondrement économique à venir :

"Il semble que nous sommes entrés dans les derniers jours de l'euro tel que nous le connaissons actuellement. Cela veut dire que des choses exceptionnelles vont se produire - probablement d'ici la mi-Janvier - afin d'éviter la fermeture progressive de tous les marchés de la zone euro"

2- Willem Buiter, économiste en chef chez Citigroup:. 
"J'hésite entre la boisson et les anti-dépresseurs."

3- David Rosenberg , économiste senior chez Gluskin Sheff à Toronto
"Les marchés pointent tous dans la direction d'un sévère cycle de ralentissement."

4- Christian Stracke , de Pimco: 
 "C'est juste une répétition de ce que nous avons vu en 2008, quand tout le monde voulait connaître le montant des actifs toxiques des bilans des banques"

"La triste vérité est que le système euro semble de plus en plus voué à l'échec. Et une vérité encore plus triste est que vu comme le système se comporte, l'Europe se porterait sans doute mieux s'il s'écroulait plutôt aujourd'hui que demain."

6- Paul Hickey de Bespoke Investment Group: 
 "De plus en plus, nous avons entendu des commentaires anecdotiques des professionnels montrant que nous vivons l'environnement le plus difficile qu'ils n'aient jamais vécu. Comme si le marché était un poisson qui tente de sauter hors de l'eau."

Il explique que "les problèmes que rencontrent les constructeurs automobiles européens rappellent ceux qu'avaient subi GM en Amérique du Nord voici quelques années, le poussant à une pitoyable mise en faillite en 2009".

8- Francesco Garzarelli de Goldman Vampire Sachs: 
"Les pressions sur les marchés des obligations souveraines de la zone euro se sont progressivement intensifiées et cela s'est répandu comme une traînée de poudre."

9- Jim Rogers :  
"En 2002, c'était mauvais, en 2008, c'était pire et 2012 ou 2013 va être encore pire encore - soyez prudent"

10- Daniel Clifton , stratègiste politique chez Strategas Research Partners sur les potentiels déclassements de la dette américaine: 
"Nous nous attendons à d'autres révisions à la baisse, un déclassement de Moody's et Fitch et, éventuellement, une seconde dégradation de la note US par Standard & Poor's."

11- Warren Buffett à propos des problèmes de la zone euro:  
"Le doute plane désormais" sur la survie même de la zone euro."

12- Gerald Celente , fondateur de Trend Institute Research dépouillé de son or par MF Global Finance: 
"L'ensemble du système s'effondre. Retirez votre argent de votre compte épargne, votre assurance-vie, et votre compte-retraite."

Lorsque des personnes influentes et bien informées sur l'état de délabrement de la finance internationale paniquent à ce point, peut-être devrions-nous faire de même ?

Pensez-y de cette façon. Quand vous construisez un château de sable sur la plage, il n'est pas totalement anéanti par la première vague (crise de 2008) mais par la deuxième vague qui l'atteint (2012 ?). Chaque vague fait des dégâts considérables, la destruction de votre château de sable est un processus.

C'est la même chose avec l'économie mondiale...

samedi 19 novembre 2011

Les 3 détonateurs de l'Apocalypse espagnol

Les banques espagnoles sont coincées avec des biens immobiliers invendables. 50% des prêts immobiliers sont en défaillance. L'Espagne est un domino dont la chute semble plus rapide que le domino italien...
Il n'existe aucune solution pour l'Espagne de résoudre ses énormes problèmes structurels.

Voici les 3 raisons qui vous démontre ce que je veux dire :

1- La moitié des prêts immobiliers est en risque d'impayé
Les banques espagnoles sont coincées par des biens surévalués alors que 50% des prêts immobiliers sont en difficulté de remboursement.

Bloomberg rapporte que les banques espagnoles ont 41 milliards de dollars (30 milliards d'euros) "d'immobilier invendable".
Selon un conseiller de la gestion des risques de Banco Santander SA (SAN) et cinq autres prêteurs :

"Je suis vraiment inquiet pour les banques des petites et moyennes entreprises dont l'activité en Espagne est à 100% fondée sur une croissance de l'immobilier « Pablo Cantos, partenaire manager de Madrid-based Mac Group, a déclaré dans une interview. «Je prévois que l'Espagne va se retrouver avec seulement 4 grandes banques."

Les prêteurs espagnols détiennent 308 milliards d'euros de prêts immobiliers, dont la moitié environ sont «en difficulté», selon la Banque d'Espagne.

Des terres dans certaines régions d'Espagne sont littéralement sans valeur, a déclaré Fernando Rodriguez Martinez de chez Acuna.

"S'il devait y avoir une évaluation réelle du marché des actifs immobiliers, chaque banque espagnole domestique aurait besoin de capitaux supplémentaires", a déclaré Daragh Quinn, analyste chez Nomura Holdings Inc de Madrid, dans un entretien téléphonique."

2- Des écarts énormes entre le prix et la valeur
Il y a un énorme écart entre les prix offerts par les banques et ce que les investisseurs sont prêts à payer, ce qui empêche la vente de portefeuilles de grande propriété, d'après Cantos Mac Group.

"Les banques ont déjà provisionné une perte de 30%, mais si vous vendez à 70% moins cher, vous devez enregistrer une perte supplémentaire de 40%. Quelles banques des petites et moyennes entreprises serait prête à prendre un tel risque ? "



3- Le maillon le plus faible de la zone Euro

Hier, lorsque l'Espagne a emprunté 3,6 milliards d'euros sur 10 ans, elle a dû payer 6,975% d'intérêts, le taux le plus élevé depuis 15 ans et donc proche du taux de 7%.

Insoutenable pour ses comptes publics !

En bref, pendant que l'Espagne se prépare à ses élections législatives ce dimanche, elle est devenue le maillon faible de la chaîne de Ponzi de la zone euro...

Si vous additionnez toutes les dettes (dettes du gouvernement, dettes sociales, dettes d'institutions financières, et les dettes des ménages), l'Espagne est un pays beaucoup plus endetté que l'Italie !!!

En général les entreprises espagnoles ont souscrit d'énormes quantités de dette supplémentaire, en particulier celles dans les secteurs des biens et des services publics.

L'endettement des ménages a augmenté de 82% du PIB, la dette publique a augmenté à 71% du PIB.

Ainsi l'endettement total de l'Italie (toutes dettes confondues) à la fin de l'année dernière était de 313% du PIB, soit 50 points de moins que l'Espagne.

Mission Impossible

Avec 22% de chômage et un secteur privé extrêmement surchargé, le marché obligataire est finalement rattrapé par les mesures d'austérité qui ne vont pas aider l'Espagne à atteindre ses objectifs budgétaires.

Un nouveau gouvernement sera élu ce week-end en Espagne.

Mission du gouvernement : Va-t-il augmenter les impôts ? Recueillir plus de revenus ?

Lisez bien ces mots: MISSION IMPOSSIBLE...

vendredi 18 novembre 2011

La solution à l'effondrement économique global : une guerre thermonucléaire ?

Après la Libye, la pression s’accentue pour une guerre de l’OTAN contre l’Iran et la Syrie... Un tel conflit ne se limiterait pas à la région, impliquerait instantanément la Russie et la Chine, et déclencherait une catastrophe thermonucléaire entre le monde transatlantique et les puissances d’Asie-Pacifique. 

Le seul moyen d’enrayer ce processus est d’en attaquer la cause : l’Empire britannique, qui depuis 250 ans promeut guerre et dépopulation pour empêcher les peuples et les nations de croître, de progresser... et de le renverser.

L’agence de presse officielle russe Ria Novosti rapportait hier matin à l’issu d’une réunion au Kremlin que :
La Russie pourrait se voir impliquée dans un conflit dans lequel des armes de destruction massive seraient utilisées, a déclaré jeudi à Moscou le chef d’Etat-major général russe Nikolaï Makarov, intervenant devant la Chambre civile russe (organe consultatif auprès du Kremlin).
"Si l’on regarde de près ce qui se passe à nos frontières à l’heure actuelle, il devient évident que le risque d’implication de la Russie dans des conflits locaux a augmenté", a indiqué M.Makarov, évoquant les "tentatives d’intégrer l’Ukraine et la Géorgie au sein de l’Alliance atlantique".
"Et sous certaines conditions, les conflits régionaux risquent de dégénérer en conflits d’envergure avec un possible emploi d’armes nucléaires", a déclaré le général russe.
Cette information est confirmée par le quotidien israélien Haaretz qui mentionne que plusieurs navires de guerres russes se déploient dans les eaux territoriales syriennes afin de protéger contre, je cite, "toute intervention militaire contre son allié".

Cette vidéo a été publié sur le site politique de Solidarité et Progrès .
 
Devrons-nous attendre l'envoi des premiers missiles pour s'en rendre compte ?


La stratégie britannique en Iran: Guerre et... par Solidarite_et_Progres

La conquête de l'Europe par le "calamar vampire" : Goldman Sachs


L'ascension de Mario Monti en tant que Président du consil italien est remarquable pour plusieurs raisons :

- Remplacer l'indélogeable, Silvio Berlusconi
- En imposant des technocrates non élus, les règles normales de la démocratie ont été bafouées, et certainement la démocratie elle-même.
- En mettant un conseiller principal de Goldman Sachs en charge d'une nation occidentale, le pouvoir politique connait de nouveaux sommets avec une banque d'investissement : idéal pour une politique toxique.


Mais, peut-être est-ce le projet ultime de Goldman Sachs ?
Un autre acteur essentiel dans le drame de la dette souveraine, est un ancien gestionnaire de Goldman, Mario Draghi de la Banque centrale européenne. 

D'autres anciens de la banque d'investissement sévissent dans les couloirs du pouvoir dans presque chaque nation européenne, comme ils l'ont fait aux États-Unis pendant la crise financière. 

Jusqu'à mercredi, la division européenne du Fonds monétaire international a également été dirigé par un homme de Goldman, Antonio Borges, qui vient de démissionner pour raisons personnelles.


Goldman Sachs, le "calamar vampire
La bête entoure désormais ses tentacules jusqu'au sommet de la zone euro et des voix sceptiques se posent des questions sur son influence. Les décisions politiques prises dans les prochaines semaines permettront de déterminer si la zone euro peut payer ses dettes, et les intérêts de Goldman sont intimement liés avec la réponse à cette question...

Simon Johnson, ancien économiste du Fonds monétaire international a fait valoir que Goldman Sachs et d'autres grandes banques étaient devenues très proches du gouvernement dans la période qui a précédé la crise financière et que les États-Unis sont effectivement une oligarchie. Au moins les hommes politiques européens ne sont pas "achetés et payés" par les entreprises, comme aux États-Unis, a-t-il dit.

"C'est le projet de Goldman Sachs", dit-il simplement. 

"Goldman est là pour donner des conseils aux gouvernements et à fournir des financements. Il est impossible de faire la différence entre l'intérêt public et l'intérêt de Goldman Sachs."

Parmi les autres conseillers, Otmar Issing, qui, en tant que membre du conseil de la Bundesbank allemande, puis la Banque centrale européenne, a été l'un des architectes de l'euro.

Peut-être le plus éminent ex-politicien à l'intérieur de la banque est M. Peter Sutherland, procureur général d'Irlande dans les années 1980 et commissaire à la concurrence de l'UE. 

Il est aujourd'hui président non-exécutif de Goldman au Royaume-Uni, Goldman Sachs International, et jusqu'à son effondrement et la nationalisation, il a également été administrateur non-exécutif de Royal Bank of Scotland. 

Il a été une voix importante en Irlande sur son renflouement par l'Union européenne, arguant que les termes de prêts d'urgence devaient être assouplis, afin de ne pas aggraver les problèmes financiers du pays. L'UE a d'ailleurs décidé de réduire le taux d'intérêt de l'Irlande cet été.

M. Draghi a été poursuivi par la controverse sur les manipulations comptables effectuées par l'Italie et les autres nations à la périphérie de la zone euro alors qu'ils tentaient de se faufiler dans la monnaie unique il y a une décennie. 

En utilisant des produits dérivés complexes, l'Italie et la Grèce ont pu alléger la taille apparente de leur dette publique, dont la règle ne permet pas d'être supérieure à 60% de la taille de l'économie. Et le cerveau derrière plusieurs de ces produits dérivés étaient les hommes et les femmes de Goldman Sachs.

Un certain nombre de transactions financières ont permis la Grèce de lever des fonds pour réduire son déficit budgétaire instantanément, en échange de remboursements dans le temps. 

Dans cette affaire, Goldman a canalisé 1 milliard de dollars de financement pour le gouvernement grec en 2002 dans une transaction appelée "swap de devises". 

Dans cette même affaire, et travaillant dans la Banque nationale de Grèce, Petros Christodoulou, qui avait commencé sa carrière chez Goldman, a été promu à la tête du bureau de gestion de la dette publique grecque. 

Lucas Papademos, désormais installé en tant que Premier ministre du gouvernement était un technocrate de la Banque centrale de Grèce à l'époque.
Il s'est avéré impossible de tenir la ligne sur la Grèce, qui, sous les dernières propositions de l'UE va effectivement faire défaut sur sa dette en demandant aux créanciers de prendre une "volontaire" décote de 50% sur ses obligations, mais le consensus actuel dans la zone euro est que les créanciers de grandes nations comme l'Italie et l'Espagne doivent être payés en totalité. 

Ces créanciers, bien sûr, sont les grandes banques du continent, et c'est leur santé qui est la principale préoccupation des décideurs. La combinaison de mesures d'austérité imposées par les nouveaux gouvernements technocratiques à Athènes et à Rome et les dirigeants des pays de la zone, comme l'Irlande, et des fonds de secours du FMI peuvent tous être attribués à ce consensus.

Jon Corzine, un ancien PDG de Goldman Sachs, est retourné à Wall Street l'an dernier après presque une décennie dans la politique et a pris le contrôle d'une entreprise historique appelé MF Global. Il a placé un pari de 6 milliards de dollars avec l'argent de l'entreprise sur les obligations du gouvernement italien.

Lorsque le pari a été révélé le mois dernier, les clients et partenaires commerciaux ont décidé qu'il était trop risqué de faire affaire avec MF Global et l'entreprise s'est effondré en quelques jours. 

C'est l'une des 10  plus grandes faillites de l'histoire américaine.

Le danger est que, si l'Italie cesse de payer ses dettes, les banques créancières pourraient être insolvables.

Goldman Sachs, qui a souscrit plus de 2000 milliards de $ d'assurance, y compris un montant non divulgué sur la dette des pays la zone euro, ne pourra en réchapper indemne, surtout si ces 2000 milliards de $ d'assurance ont été achetés avec une banque ayant fait faillite. 

Aucune banque - et surtout pas le "calamar vampire" - ne peut facilement dénouer ses tentacules autour de ses proies. 

La seule raison des différents sauvetages et l'austérité imposée au peuple s'appelle Goldman Sachs !

jeudi 17 novembre 2011

Nigel Farage : Nous voici au seuil d'un désastre financier et social

Comme à son habitude, Nigel Farage empoigne les parlementaires européens dans l’hémicycle de l'€URSS avec son franc parlé habituel. Remarquez le sourire narquois de Mr Van Serpillière quand Nigel s'adresse à lui à propos du coup d'Etat italien... Par cette vidéo, Gold-Up maintien que les banquiers préparent un autre coup d’État dans les prochaines semaines...


"En toute objectivité, l'euro est un échec"


"Vous avez fait limoger Papandréou par un gouvernement fantoche" 




Ci-dessous les premières images des italiens qui se révoltent contre les terroristes financiers qui se sont emparés de leur pays par la force (de la dette)... Ayant plusieurs sources en Italie, je vous assure que les italiens (surtout la classe moyenne) seront beaucoup moins tolérants que les manifestants grecs

A qui le tour ?




LIVE : Occupy Wall Street entame sa marche sur la Bourse de New-York

Cet après-midi, le mouvement Occupy Wall Street entamera sa marche sur la Bourse de New-York afin d'empêcher les traders de se rendre sur leur lieu de pillage...euh... de travail. Évidemment, une horde de policiers venus en paix les attendront de pied ferme...

Afin de consolider le mouvement, OWS s'apprête à mener une action de grande envergure. Les manifestants se trouvent actuellement à l'intersection de Nassau et Pine, un quartier proche du New-York Stock Exchange et draineront une foule massive en direction du centre du terrorisme financier international.


L'action d'aujourd'hui consiste à bloquer les métros, les ponts et l'accès aux traders de Wall-Street.

La "prise d'occupation" sera faite au retentissement de la cloche de l'ouverture des marchés à 15h00 (heure française)


Le Live ci-dessous :





Watch live streaming video from globalrevolution at livestream.com

mercredi 16 novembre 2011

Coup d'Etat italien : Mr Bilderberg-Monti offre son peuple aux banquiers et à d'autres...

Parmi les 16 ministres choisi par Mr Bilderberg-Monti aujoud'hui, nous retrouvons des personnes largement influencées par les États-Unis. Le plus intéressant est qu'il a décidé d'offrir à ses amis banquiers des postes clés au sommet de l’État. Les pions continuent à se mettre en place en Europe afin de faire tomber les démocraties. Affaire à suivre...
Ministre des Affaires Etrangères, Giulio Terzi di Sant’Agata, consul général d'Italie à New-York et surtout, représentant de la NIAF (Fondation nationale italo-amércaine) visant à entretenir une étroite collaboration avec le Congrès américain et la Maison-Blanche dans le but d'obtenir des subventions de bourses d'étude destinées aux italo-américains (une institution qui sent bon la corruption...). Il a d'ailleurs été personnellement remercié de son amitié par Obama lors de la 10ème commémoration des attentats du 11 septembre.





Ministre du Sport et du Tourisme (un super poste !) , Piero Gnudi : Conseiller et administrateur de Unicredit et membre du comité éxécutif de l'Aspen Institute (organisation à but non-lucratif) dont le siège se trouve à Washington D.C. Lisez bien ceci, cette organisation "vise à encourager les dirigeants auto-proclamés éclairés ("illuminati" en italien), des idées et des valeurs intemporelles et le dialogue sur les questions contemporaines". Et devinez qui finance en partie cette joyeuse association d'"illuminati" ?... => le Rockefeller Brothers Fund dont le fondateur fait partie du comité de direction du groupe Bilderberg ! Les conspirationnistes vont s'en donner à cœur joie...






Ministre des Relations avec le Parlement: Piero Giarda, a reçu un enseignement économique à l'université Princeton et de Harvard (USA) et il devint membre du comité de direction du groupe Banco Popolare quelques années plus tard.










Ministre du Développement Économique , des Infrastructures et des Transports, Corrado Passera. Il a obtenu un Master en Administration Business à l'Ecole Wharton en Philadelphie (USA). C'est avant tout un banquier italien qui a servi dans différents secteurs de l'industrie et de la finance : Banco Ambrosiano Veneto, la Poste italienne et Banca Intesa où il fut administrateur délégué. Il est conseiller économique auprès d'une des plus grandes banques européennes : Intesa SanPaolo.




Ministre du Travail et des Politiques Sociales, Elsa Fornero qui a étudié à la Faculté économique de Turin et devint vice-présidente du conseil de surveillance de la banque Intesa SanPaolo et membre de la commission d'experts auprès de la Banque Mondiale. Avec ce type d'expérience, les italiens vont découvrir une nouvelle facette économique du "social"...




Avec ce genre d'équipe, les italiens vont faire connaissance avec le mot "austérité" et "asservissement" dans un délai court car il va falloir trouver 9 milliards d'euros dès la semaine prochaine...

Forza Italia !

Vous pouvez encore télécharger gratuitement
16 Secrets pour Survivre à l'Hyperinflation (PDF)
1- Comprendre les dangers réels qui menacent notre système économique
2- Avoir les 16 bons réflexes qui feront toute la différence
3- Savoir communiquer cette situation à votre famille, amis et contacts
(Vos coordonnées sont en sécurité, et je déteste les spams autant que vous)

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